Il est crucial de garder à l’esprit que le risque de tumeur solide secondaire est accru chez les personnes ayant survécu à un lymphome hodgkinien. C’est ce que Michael Schaapveld et ses collègues ont écrit dans le New England Journal of Medicine, sur la base d’une étude...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.