La radiothérapie externe est un traitement efficace pour diverses affections thoraciques malignes telles que le cancer du sein, les cancers de la tête et du cou, le cancer du poumon, le lymphome de Hodgkin et le cancer de l’œsophage. Si la radiothérapie thoracique a permis d’accroître les chances de survie des patients cancéreux, elle a également conduit à une hausse du risque de développer des effets secondaires liés aux radiations, notamment des maladies cardiovasculaires.
La concentration plasmatique des métabolites du NO et de l’arginine pourrait contribuer à détecter précocement la toxicité cardiaque des anticancéreux.
Le manque de temps est le prétexte le plus souvent avancé pour justifier des activités physiques insuffisantes au regard des recommandations en vigueur. Une analyse récente montre que cette excuse ne tient plus, puisque même à petites doses les activités physiques ont un effet bénéfique.
Onco-Hemato Vol. 19 N° 1
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