Avec près de 500 sessions orales, l’ASCO est le congrès mondial le plus représentatif de l’oncologie. Constater dans ce cadre que seules deux sessions étaient consacrées spécifiquement à l’oncologie pédiatrique est décevant, d’autant que la qualité des études présentées n’a pu compenser totalement leur faible quantité. Les résultats méritent cependant le détour, car ils sont susceptibles de modifier la pratique quotidienne et le pronostic à long terme de ces enfants… Ils apportent aussi de précieuses indications en termes épidémiologiques chez les survivants.
Dominique-Jean Bouilliez