La quinzième édition du WCGIC s’est déroulée à Barcelone du 3 au 6 juillet.
Evocation de quelques-uns de ses moments forts.
MGN1703 est une petite molécule reconnue par le récepteur TLR9 exprimé dans les cellules dendritiques plasmacytoïdes et les lymphocytes B, jouant ainsi sur l’immunité adaptative. Elle a été testée en maintenance d’un cancer colorectal métastatique...
La place de l'oxaliplatine en adjuvant dans le cancer rectal de stade avancé fait encore débat, raison pour laquelle une équipe anglaise a comparé l'administration de 6 cycles capecitabine - oxaliplatine à l'absence de traitement chez 113 patients avec cancer rectal localement avancé après chirurgie R0.
VELOUR, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of Clinical Oncology en 2012, avait prévu une analyse des résultats chez les patients de 65 ans ou plus...
La résection radicale est le facteur pronostique le plus important de contrôle local du cancer du rectum. Mais une étude rétrospective néerlandaise vient de relancer le débat sur l’intérêt de la radiothérapie peropératoire chez des patients avec marge circonférentielle microscopiquement envahie.
Etude multicentrique randomisée de phase 2 comparant en deuxième ligne métastatique après progression sous chimiothérapie à base d’oxaliplatine + bevacizumab deux schémas FOLFIRI avec bevacizumab ou panitumumab, SPIRITT n’a pu constater de différence en PFS ni en survie globale chez les 182 patients KRAS sauvage enrôlés.
Sofie Van Binnebeek (qui se présente elle-même) a été sélectionnée dans les ‘best abstracts’ relatifs aux tumeurs neuro-endocrines. Elle résume ici le travail de l'équipe de la KU Leuven sur la meilleure technique diagnostique des métastases de ces NET.
On connaît l’implication de VEGF et de son récepteur de type 2 dans l’angiogenèse du cancer gastrique. Le ramucirumab, un anticorps dirigé contre le récepteur 2 du VEGF, a dès lors été logiquement testé dans cette indication en monothérapie de 2ème ligne...
La gastrectomie D2 fait partie à présent des recommandations américaines et européennes en cas de cancer gastrique opérable. Faut-il une chimiothérapie adjuvante?
Une étude prospective multicentrique française, sous l’égide de l’AGEO (Association des Gastro-Entérologues Oncologues) a évalué le FOLFIRINOX chez 77 patients présentant un adénocarcinome pancréatique localement avancé non résécable...
Le traitement PRRT (Peptide Receptor Radionuclide Therapy) est une forme de traitement moléculaire ciblé réalisé avec un petit peptide (un analogue de la somatostatine similaire à l’octreotide) couplé à un radionucléide émettant des radiations bêta...
MPACT évaluant l’intérêt de l’association Nab-Paclitaxel + gemcitabine versus gemcitabine seule dans le cancer du pancréas avancé avait été présentée à l’ASCO GI (Abstract#LBA148). Ce sont les résultats en analyse multivariée qui ont été présentés par Josep Tabernero sur les facteurs pronostiques les plus importants en termes de PFS et de survie globale...
Chris Verslype, hépatologue à la KU Leuven, a présenté un exposé au cours duquel il mettait en adéquation des cas cliniques avec les nouvelles recommandations ESMO/ESDO pour ce qui concerne l'hépatocarcinome. Il présente ici un résumé de ces recommandations.
PAM4, une mucine pancréatique spécifique des adénocarcinomes canalaires, semble être une cible thérapeutique intéressante…
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