Souvent considérée comme un parent pauvre lors des congrès d’oncologie en raison du peu de progrès observés avec les nouvelles thérapeutiques, la neuro-oncologie a cependant fait l’objet d’études encourageantes permettant d’améliorer la survie globale soit par un ciblage plus attentif, soit par une approche innovante de l’immunothérapie, soit encore par l’utilisation de la génomique. C’est en particulier le cas pour le glioblastome, comme l’a souligné la section dédiée aux tumeurs du système nerveux central lors du récent congrès américain d’oncologie médicale.
— Dominique-Jean Bouilliez, d’après les présentations d’Eric Bouffet (Toronto), Philipp Karschnia (Munich), David Reardon (Dana-Farber, Boston), Shao-Pei Wheaters (MD Anderson), William Cheng Chen (San Francisco).