Traditionnellement, les agents anticancéreux sont approuvés sur la base d’une action tissulaire guidée par l’histologie et les biomarqueurs associés à certains sites cancéreux. Récemment cependant, plusieurs études se sont basées sur un modèle indépendant des tumeurs, dans lequel les altérations génomiques spécifiques, quel que soit le tissu considéré, sont la base de l’approbation de certaines molécules.
Les traitements de référence du cancer du col localement avancé sont, depuis 1999, la radiothérapie externe avec chimiothérapie concurrente ou la brachythérapie. Parallèlement, le pembrolizumab en monothérapie ou associé à la chimiothérapie a montré une efficacité intéressante avec un profil de tolérance gérable en cas de cancer du col récurrent ou métastatique.
Le coût du manque de qualité… de l’air
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